Selon Suzanne Lareau, PDG de vélo Québec une entreprise pour être vélosympathique doit répondre à certains critères. Elle doit installer des supports à vélo couverts et protégés pour ses employés et des supports à vélo extérieurs en quantité suffisante pour les visiteurs. Puis il y a une deuxième étape pour laquelle des casiers et des douches sont prévues, de plus l’entreprise fait la promotion de ce type de transport. Enfin la troisième étape consiste à offrir une allocation financière aux utilisateurs.
Compte tenu du fait que selon les statistiques 14% des montréalais utilisent le vélo comme mode de transport principal, d’autant plus qu’en mode urbain le vélo va beaucoup plus vite qu’une voiture et surtout pollue encore moins. Bon nombre d’entreprises conscientes de cette réalité proposent à leurs employés des infrastructures adaptées protection des vélos, casiers, et parfois même une aide financière pour l’achat d’un vélo ou d’accessoires c’est ce que l’on appelle des entreprises « vélosympathiques » . Ces mêmes entreprises ont découvert en plus qu’un employé utilisant son vélo fait ainsi plus d’exercice arrive relaxe au travail et est en final plus productif !
Voila qui devrait motiver les employeurs à faire le nécessaire pour généraliser ce type d’initiative, reste à savoir si cela pourra motiver certains utilisateurs de 4×4 à laisser leur engin au garage… Source : Métro du mercredi 8 avril