Et si l’avenir de nos sociétés passait par la simplicité volontaire ? Mais avant de répondre à une telle question, tentons de définir ce qu’est la simplicité volontaire ! Apparemment il y aurait autant de définitions que d’auteurs sur le sujet. L’office de la langue française du Québec la définit comme étant un « mode de vie consistant à réduire sa consommation de biens en vue de mener une vie d’avantage centrée sur des valeurs essentielles« .
Le Réseau Québécois de la Simplicité Volontaire a préféré donner une définition en plusieurs volets tels que: ; « La découverte qu’on peut vivre mieux avec moins » « Un recours plus grand à des moyens collectifs et communautaires« ; « le choix de privilégier l’être plutôt que l’avoir« . La simplicité volontaire peut être vue sous différents angles, entre la philosophie et l’art de vivre ou encore comme un courant social d’avantage centré sur la richesse intérieure que sur le paraitre. Aussi multiple dans les façons de se manifester que dans les noms qu’elle porte (simple living, austérité joyeuse, décroissance…) la SV fait assurément la part belle à la créativité et à l’imagination, mais la vision que je préfère est indiscutablement celle Mark Burch, qui la présente comme « la recherche d’un mode de vie propice à l’amour et à l’épanouissement de la vie« .
Le RQSV réalise actuellement un sondage en collaboration avec l’Uquam et HEC Montréal, pour mieux connaitre les personnes qui pratiquent ce style de vie. De plus chaque questionnaire rempli rapportera 2 dollars au RQSV qui effectue actuellement une campagne de financement pour faire d’avantage connaitre le bienfait de ses actions. Participer au spndage : www.sondagesimplicite.uqam.ca
Pour en savoir plus sur la simplicité volontaire au Québec : www.simplicitevolontaire.info